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Februar 2017

Tata Motors Steps onto the Future Mobility Scene with TAMO

Tata Motors has demonstrated its desire to become – as they call it, ‘FutuReady’- with their new TAMO future mobilities project. An abbreviated variation of the Tata Motors name, TAMO will be a sub-brand that sets itself apart from the traditional passenger vehicle strategies of the main brand. For now, TAMO will be more of an incubation center than full-on commercial venture. It has been introduced as a low volume, low investment initiative that will act as an open platform to connect with the activities of global startups and established tech companies. The platform will allow TAMO access to the latest trends and products that are being researched and designed, bringing India into the foray of future mobility innovations and solutions.

Guenter Butschek, MD & CEO of Tata Motors is quoted as saying, “Our game plan addresses six themes – topline improvement, cost management, structural improvements, customer centricity, new mobility solutions and organizational effectiveness. To secure our future in a rapidly changing environment, the advanced mobility solutions space is of utmost importance.”

As part of its efforts to become an important player in the future mobility scene the company is even rumored to be planning on opening offices in Silicon Valley. This strategic move will bring it closer and quicker to being able to tap the fast flow of ideas coming out of the famous tech hub. The value of creating a more digital ecosystem through TAMO, which better reflects the ever increasing digital experience of our everyday lives, is most likely not lost on Tata Motors. The company is definitely on the move to boost the whole brand and has expressed its aim to become one of the Top 3 producers of passenger vehicles by 2019.

What’s in the works?

Although the company has been slowly revealing its plans for TAMO via its Twitter and other social media channels, no one knows exactly what’s in store. Luckily we won’t have to hold on to our curiosity for too long as its debut is just around the corner. All eyes will be focused on Tata Motors on March 7, 2017, at the Geneva International Motor Show where the premiere TAMO product will be premiered. So far all hints indicate that the first project will reveal a two-seater, mid-engine sports car that is, at least internally, being referred to as ‘Futuro’.

You can find out more by clicking here 

Depuis le 15 janvier, les véhicules ne disposant pas de la vignette Crit’Air, le nouveau „certificat qualité de l’air“, ne peuvent désormais plus se déplacer librement dans les zones à circulation restreinte (Paris) et zones de protection de l’air (Grenoble et Lyon). Une nouvelle mesure qui met en évidence l’urgence à faire face aux problèmes environnementaux et esquisse les conditions de mobilité de demain.

green zone sticker France

 

Comment fonctionnent les différentes zones ?

Concernant la capitale, la zone s’étend sur l’ensemble de Paris intra-muros, à l’exception du périphérique, du bois de Boulogne et du bois de Vincennes. La circulation des véhicules sans certificat est interdite du lundi au vendredi de 8h à 20h et concerne aussi bien les deux roues que les voitures particulières, les autocars et les véhicules utilitaires.

Par ailleurs, ces vignettes de couleur pourraient permettre de bénéficier d’avantages sur les autres véhicules lors des pics de pollution. Ces avantages pourront être mis en place différemment selon les municipalités. Numérotées de 1 à 6, plus le chiffre est petit, plus fortes sont les chances de pouvoir circuler en toutes conditions. À Lyon, seuls les véhicules porteurs de vignettes Elektro, 1, 2 et 3 pourront faire fi de la circulation alternée les jours de pic de pollution et jusqu’à 3 si le pic dépasse les 4 jours consécutifs. green restricted zone FranceIl s’agit donc d’une restriction exceptionnelle tout comme à Grenoble. Dans cette dernière, seuls les véhicules munis d’une vignette de catégories 1 à 5 pourront circuler à partir du 5e jour de pic de pollution et de 1 à 3 à partir du 7e jour. Cette mesure s’étend à toute la métropole, y compris les autoroutes.

Avec des pics de pollution observés dans la plupart des grandes villes françaises, cette tendance a de grandes chances d’atteindre les autres villes.
Si vous prévoyez d’acheter une voiture, mieux vaut tenir compte de ces nouveaux critères, même si vous habitez en province. Les véhicules hybrides sont en ce sens une solution écologique pour vos déplacements citadins, mais vous permettent aussi de réaliser de belles économies sur votre consommation de carburant.

 

Mesure environnementale, mais mesure sociale ?

Concrètement, ce sont surtout les véhicules motorisés avant le premier janvier 1997 qui risquent de ne plus être aux normes et se faire bannir de ces zones. De quoi faire râler les automobilistes les plus modestes, n’ayant pas les moyens de changer leurs vieux diesels. En cas d’infraction, les amandes prévues sont de l’ordre de 68 € pour les voitures et deux-roues et 135 € pour les poids-lourds. Les véhicules pour handicapés sont en revanche exclus de la mesure et pourront circuler librement.

Si tout un chacun peut se réjouir de respirer un air plus propre, on aurait pu prendre des décisions en amont pour éviter les pics de pollution et encourager les habitants des grandes agglomération à utiliser davantage les transports en commun. On pense par exemple au tarif pharamineux de 73 € par mois toutes zones l’abonnement annuel Navigo, beaucoup si l’on ne touche qu’un SMIC. Ou encore à la difficulté de se déplacer à vélo sereinement dans la capitale, même si la situation s’est améliorée : on pourrait par exemple élargir les voies de bus quand cela est possible, aménager des pistes cyclables bien définies au niveau des portes ou renforcer les contrôles de vitesse en zones 30.

Grenoble montre l’exemple en ce sens, puisque la ville s’engage à réduire le cout des transports en communs lors despics de pollution et même de les proposer gratuitement à partir du 7e jour consécutif : une mesure qui offre une réelle alternative pour les usagers.

 

traffic jams in the city, road, rush hour

Commander sa vignette :

Vous pouvez commander votre pastille environnementale sur www.certificat-air.gouv.fr. Un outil de simulation est également disponible pour savoir à quelle vignette vous avez droit : cliquez ici.
Coût : 4,18 euros, incluant la redevance et les frais d’envoi. Du moment qu’elle reste visible, la vignette ne possède à ce jour pas de date limite de validité.

 

Et dans les autres pays ?

Nouveau en France, ce système de classement des véhicules existe déjà dans d’autres pays, dont l’Allemagne, qui n’a pas attendu de subir des pics de pollution pour combattre les particules fines. À Berlin entre autres grandes villes propose un système de vignettes depuis 2008, sans quoi il est interdit de circuler dans le centre-ville. Oslo et Copenhague vont quant à eux jusqu’à interdire tout véhicule diesel les jours de forte pollution.

 

 

Copyright graphiques : crit-air.fr/Green-Zones GmbH
Texte : Caroline Paboeuf

Futuristes, les voitures volantes ? Les véhicules du deuxième millénaire tels qu’on les imaginait dans les films de science-fiction commencent à pointer le bout de leurs nez, du moins en théorie. A³, la filiale d’Airbus située dans la Sillicon Valley, travaille actuellement à la conception de véhicules aériens électriques et sans chauffeurs, visant au transports de passagers et de marchandises.

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Désengorger les villes

Airbus voit sur le long terme et étudie de près l’évolution des villes dans le monde. Son constat : en 2030, 60% de la population mondiale habitera en ville, soit 10% de plus qu’aujourd’hui. Avec pour conséquence directe le développement de « méga-villes » méga-peuplées et méga-engorgées. La solution pour se rendre au travail sans tomber dans trois heures de bouchons ? Le transport par les airs. En plus de permettre aux habitants de ces méga-villes des transports facilités, Airbus lorgne également du côté environnemental, en imaginant des véhicules 100% électriques.

Le projet Vahana

Vahana est un projet de taxi volant électrique et sans chauffeur aux airs de drone. Conçu dans l’idée pour un seul passager, les usagers pourraient le réserver via une application comme on le fait dans le cas de l’autopartage.

Cityairbus

Cityairbus propose quant à lui une alternative aux réseaux de transports en commun en créant des couloirs aériens au-dessus de la ville. À mi-chemin entre un hélicoptère et un drone, le véhicule pourrait selon Airbus accueillir plusieurs passagers.

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Les challenges

Si Airbus est déjà au point au niveau de l’aviation, d’autres challenges se posent pour le groupe. D’un point de vue technologique, il reste encore à développer un pilotage autonome sans risque de collision. Ensuite, il ne faut pas oublier que, pour l’instant, nulle part dans le monde les drones n’ont l’autorisation de transporter des passagers… Airbus reste pourtant confiant et mise sur l’inévitable besoin d’une alternative au transport terrestre dans des villes de plus en plus polluées et de plus en plus engorgées.

Premier test, le projet Skyways devrait voir le jour cette année. Airbus Helicopters a en effet signé un accord avec l’autorité de l’aviation civile de Singapour l’autorisant à faire circuler ses drones pour le transport de marchandises sur le campus de l’université. La compagnie espère prouver la fiabilité du système, pouvant sur le long terme encourager les États à autoriser le transport de passagers.

 

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Le projet a officiellement démarré il y a un an, en février 2016. Airbus ne perd pas de temps et prévoit des tests d’aviation dès la fin 2017 et une commercialisation d’ici une dizaine d’années.  Si à l’heure qu’il est aucun prototype n’a encore été présenté, cette année 2017 pourrait nous réserver de belles surprises.

 

 

Texte : Caroline Paboeuf
Graphiques : ©Airbusgroup

Zunächst kannte man den Dortmunder Jean-Pierre Krämer nur von den TV-Sendern RTL2 oder VOX, wo er mit Kollege Sidney Hoffmann Gebrauchtwagen unter die Lupe nahm und den Traumwagen für einen Gast suchte. Mittlerweile haben sich die beiden PS-Profis geschäftlich getrennt und haben jeweils erfolgreiche Tuningschmieden am Start. Das Geheimnis ihres Erfolgs liegt dabei zum großen Teil mit Sicherheit in ihren YouTube-Channels begründet, wo sie täglich von ihren neuen Projekten berichten. Gefühlt im Wochenrhythmus werden neue Autos angeschafft bzw die Autos von Kunden präsentiert, auseinanderschraubt und mit dem gewissen Etwas versehen. Tiefer, lauter, schneller – so könnte man das Credo von Sidney Industries und JP Performance vereinfacht darstellen.

Wer sich jedoch ein paar der Videos anschaut, in denen Jean-Pierre Krämer möglichst anschaulich, einfach und mit Humor die Vorgänge in einem Motor beschreibt und wie er diese eben zu optimieren versucht, der wird schnell zum Aboboxcamper. So nennen sich die Menschen die jeden Tag punkt 11:29 Uhr im YouTube-Channel von JP Performance einfinden und so lange die Seite aktualisieren bis das neue Video angezeigt wird. Wie gesagt: ein Mal täglich. Um dieses Pensum zu schaffen hat JP extra zwei Mediengestalter eingestellt. Joni und Nobbi verfolgen ihren Chef auf Schritt und Tritt mit der Kamera und so wird man Zeuge wie Jean-Pierre Krämer zum Autohaus marschiert, um sich eine neue S-Klasse zu konfigurieren, den DHL Mann fast bespringt, weil der eine neue Felgenlieferung dabei hat, oder auch mit seinem Lamborghini Aventador (inzwischen wieder verkauft) in die Waschanlage fährt. Auch Ausflüge nach Miami oder Dubai sind keine Seltenheit.

Namhafte Firmen wie Aral oder Sonax, ROWE und Dunlop präsentieren sich mittlerweile in JPs Videos, wohlweislich dass dort 763.000 potentielle Kunden zuschauen. Das hört sich vielleicht im ersten Moment abgehoben und nach Ausverkauf an, aber der Mann ist angenehm sympathisch und trotz seines Erfolges auf dem Boden geblieben. Das gefällt auch seiner Fangemeinde. Die JP Army steht hinter ihrem „Schokohasen“, wie er selbst seine Freunde nennt. Jeden Freitag werden im Frage-Antwort-Video ihre Fragen rund um die eigenen und JPs Autos beantwortet. Seit letztem Jahr tourt Jean-Pierre Krämer, mittlerweile gefragter Interviewpartner, sogar mit einer Art Stand-up-Comedyshow zum Thema Auto durch die Stadien Deutschlands.

Garniert werden die hochwertig produzierten Videos übrigens von den Porn-Sequenzen, wo nur die Autos gezeigt werden, meistens unterlegt von Trap Musik.

Wir haben mal die schönsten, schrillsten, lustigsten Videos ausgesucht. Als kleines Geschenk zum Feierabend und zum Wochenende. Viel Spaß!

Foto: pexels.com

Wenn ein Konzept gut ist und funktioniert, wird es weiterempfohlen, und das Unternehmen wächst. So einfach ist es leider nicht immer, aber manchmal klappt genau das eben doch noch. Aber was bringt jede noch so leidenschaftliche Empfehlung, wenn innovative Mobilitätsdienstleister wie CleverShuttle um jeden Einsatz kämpfen müssen.

clevershuttle_app_buchung-berlinClever…was?

So geschah es kürzlich, dass eine Freundin aus München mir von der App und dem dazugehörigen Unternehmen CleverShuttle berichtete, dessen Service sie seit Kurzem regelmäßig nutzt.

CleverShuttle ist ein Fahrdienst bei dem Taxi und Carsharing zum sogenannten Ride Sharing verbunden werden. Per App kann der Nutzer die gewünschte Strecke und Anzahl der Mitfahrer angeben und bekommt nach kurzer Suche mitgeteilt, ob ein Fahrer in seiner Nähe ist, wann dieser ihn abholen könnte und auch wie viel ihn die Fahrt kostet – meistens einiges unter dem üblichen Taxipreis.

Grün, günstig und gesellig: CleverShuttle

Wo aber nun ist das Sharing an der Sache? Ganz einfach: Anhand der ja schon vor der Fahrt angegebenen Routen ermittelt ein Algorithmus, welche Kunden ähnliche Wege haben und lässt den Fahrer gegebenenfalls mehrere Mitfahrer an verschiedenen Stellen auf der Strecke einsammeln. Zu dieser Optimierung der motorisierten Fortbewegung kommt noch hinzu, dass die Autos von CleverShuttle grün unterwegs sind, heißt mit Elektroautos und Hybriden unterwegs sind.

Das alles war Grund genug mir die App herunterzuladen und mich für den Dienst anzumelden. Für die Anmeldung gab es direkt zehn Euro Guthaben gratis und meine Freundin bekam auch noch zehn Euro gut geschrieben, dafür dass sie mich „geworben“ hatte. Um aber ihre zehn Euro frei zuschalten, musste ich meine anbrechen. Da ich den Spaß sowieso einmal ausprobieren wollte, machten wir uns an diesem Abend einfach ganz dekadent mit dem Taxi – pardon, CleverShuttle – statt der Öffentlichen auf den Weg zum Konzert.

Der Kampf um Mobilitätsinnovation

Das ganze klappte wie am Schnürchen, aber im Auto mussten wir lernen, dass wir eigentlich ganz schön Glück hatten, überhaupt einen der grün-weißen Wagen (in München sind es wohl rote Audis) zu erwischen. Dort nämlich erzählte uns unser netter Fahrer, dass in Berlin nur ganze 10 CleverShuttle unterwegs sein dürfen. Für mehr Autos hätten die Gründer des Startups, die Schulfreunde Bruno Ginnuth, Jan Hofmann und Slava Tschurilin, nämlich in Berlin keine Genehmigung bekommen. Die Taxilobby in Berlin sei zu stark, um Alternativen in Berlin zuzulassen. Das hört man immer wieder. Aber ist das auch das Problem von CleverShuttle?

Tatsächlich bestätigt uns Bruno Ginnuth, dass CleverShuttle in Berlin derzeit nur zehn Autos im Einsatz sind. Sagt jedoch, das liege daran, dass CleverShuttle als neuartiger Fahrdienst lediglich unter einer Experimentierklausel in Berlin genehmigt wurde und er noch geprüft werde, ob der Dienst öffentlichen Verkehrsinteressen entgegen stehe. „Wir sind allerdings in einem guten Dialog mit der Stadt und Genehmigungsbehörde und zuversichtlich, bald eine Erweiterung zu erwirken“, sagt Ginnuth. Hinzu komme, dass es laut Ginnuth gar nicht so einfach sei, gute Fahrer für eine Vergrößerung des Unternehmens zu finden.

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In München sind bereits 15 Fahrzeuge im Einsatz und in Leipzig sind es auch schon elf für eine viel kleinere Fläche als Berlin. Müssen Berliner denn jetzt bangen, dass CleverShuttle einfach aus der Hauptstadt ab- und in andere Städte weiterzieht?

Ginnuth beruhigt die Berliner: „Wir sind selbst Berliner und haben CleverShuttle gestartet, um zu bleiben. Wir werden bald mehr Fahrzeuge als nur zehn auf der Straße sehen. Und andere Städte werden ebenfalls dieses Jahr noch folgen, allerdings noch nicht final klar, welche es sein werden.“

Wir jedenfalls sind jetzt schon Fans und drücken die Daumen!

 

Bilder: CleverShuttle