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Tata Motors Steps onto the Future Mobility Scene with TAMO

Tata Motors has demonstrated its desire to become – as they call it, ‘FutuReady’- with their new TAMO future mobilities project. An abbreviated variation of the Tata Motors name, TAMO will be a sub-brand that sets itself apart from the traditional passenger vehicle strategies of the main brand. For now, TAMO will be more of an incubation center than full-on commercial venture. It has been introduced as a low volume, low investment initiative that will act as an open platform to connect with the activities of global startups and established tech companies. The platform will allow TAMO access to the latest trends and products that are being researched and designed, bringing India into the foray of future mobility innovations and solutions.

Guenter Butschek, MD & CEO of Tata Motors is quoted as saying, “Our game plan addresses six themes – topline improvement, cost management, structural improvements, customer centricity, new mobility solutions and organizational effectiveness. To secure our future in a rapidly changing environment, the advanced mobility solutions space is of utmost importance.”

As part of its efforts to become an important player in the future mobility scene the company is even rumored to be planning on opening offices in Silicon Valley. This strategic move will bring it closer and quicker to being able to tap the fast flow of ideas coming out of the famous tech hub. The value of creating a more digital ecosystem through TAMO, which better reflects the ever increasing digital experience of our everyday lives, is most likely not lost on Tata Motors. The company is definitely on the move to boost the whole brand and has expressed its aim to become one of the Top 3 producers of passenger vehicles by 2019.

What’s in the works?

Although the company has been slowly revealing its plans for TAMO via its Twitter and other social media channels, no one knows exactly what’s in store. Luckily we won’t have to hold on to our curiosity for too long as its debut is just around the corner. All eyes will be focused on Tata Motors on March 7, 2017, at the Geneva International Motor Show where the premiere TAMO product will be premiered. So far all hints indicate that the first project will reveal a two-seater, mid-engine sports car that is, at least internally, being referred to as ‘Futuro’.

You can find out more by clicking here 

Depuis le 15 janvier, les véhicules ne disposant pas de la vignette Crit’Air, le nouveau „certificat qualité de l’air“, ne peuvent désormais plus se déplacer librement dans les zones à circulation restreinte (Paris) et zones de protection de l’air (Grenoble et Lyon). Une nouvelle mesure qui met en évidence l’urgence à faire face aux problèmes environnementaux et esquisse les conditions de mobilité de demain.

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Comment fonctionnent les différentes zones ?

Concernant la capitale, la zone s’étend sur l’ensemble de Paris intra-muros, à l’exception du périphérique, du bois de Boulogne et du bois de Vincennes. La circulation des véhicules sans certificat est interdite du lundi au vendredi de 8h à 20h et concerne aussi bien les deux roues que les voitures particulières, les autocars et les véhicules utilitaires.

Par ailleurs, ces vignettes de couleur pourraient permettre de bénéficier d’avantages sur les autres véhicules lors des pics de pollution. Ces avantages pourront être mis en place différemment selon les municipalités. Numérotées de 1 à 6, plus le chiffre est petit, plus fortes sont les chances de pouvoir circuler en toutes conditions. À Lyon, seuls les véhicules porteurs de vignettes Elektro, 1, 2 et 3 pourront faire fi de la circulation alternée les jours de pic de pollution et jusqu’à 3 si le pic dépasse les 4 jours consécutifs. green restricted zone FranceIl s’agit donc d’une restriction exceptionnelle tout comme à Grenoble. Dans cette dernière, seuls les véhicules munis d’une vignette de catégories 1 à 5 pourront circuler à partir du 5e jour de pic de pollution et de 1 à 3 à partir du 7e jour. Cette mesure s’étend à toute la métropole, y compris les autoroutes.

Avec des pics de pollution observés dans la plupart des grandes villes françaises, cette tendance a de grandes chances d’atteindre les autres villes.
Si vous prévoyez d’acheter une voiture, mieux vaut tenir compte de ces nouveaux critères, même si vous habitez en province. Les véhicules hybrides sont en ce sens une solution écologique pour vos déplacements citadins, mais vous permettent aussi de réaliser de belles économies sur votre consommation de carburant.

 

Mesure environnementale, mais mesure sociale ?

Concrètement, ce sont surtout les véhicules motorisés avant le premier janvier 1997 qui risquent de ne plus être aux normes et se faire bannir de ces zones. De quoi faire râler les automobilistes les plus modestes, n’ayant pas les moyens de changer leurs vieux diesels. En cas d’infraction, les amandes prévues sont de l’ordre de 68 € pour les voitures et deux-roues et 135 € pour les poids-lourds. Les véhicules pour handicapés sont en revanche exclus de la mesure et pourront circuler librement.

Si tout un chacun peut se réjouir de respirer un air plus propre, on aurait pu prendre des décisions en amont pour éviter les pics de pollution et encourager les habitants des grandes agglomération à utiliser davantage les transports en commun. On pense par exemple au tarif pharamineux de 73 € par mois toutes zones l’abonnement annuel Navigo, beaucoup si l’on ne touche qu’un SMIC. Ou encore à la difficulté de se déplacer à vélo sereinement dans la capitale, même si la situation s’est améliorée : on pourrait par exemple élargir les voies de bus quand cela est possible, aménager des pistes cyclables bien définies au niveau des portes ou renforcer les contrôles de vitesse en zones 30.

Grenoble montre l’exemple en ce sens, puisque la ville s’engage à réduire le cout des transports en communs lors despics de pollution et même de les proposer gratuitement à partir du 7e jour consécutif : une mesure qui offre une réelle alternative pour les usagers.

 

traffic jams in the city, road, rush hour

Commander sa vignette :

Vous pouvez commander votre pastille environnementale sur www.certificat-air.gouv.fr. Un outil de simulation est également disponible pour savoir à quelle vignette vous avez droit : cliquez ici.
Coût : 4,18 euros, incluant la redevance et les frais d’envoi. Du moment qu’elle reste visible, la vignette ne possède à ce jour pas de date limite de validité.

 

Et dans les autres pays ?

Nouveau en France, ce système de classement des véhicules existe déjà dans d’autres pays, dont l’Allemagne, qui n’a pas attendu de subir des pics de pollution pour combattre les particules fines. À Berlin entre autres grandes villes propose un système de vignettes depuis 2008, sans quoi il est interdit de circuler dans le centre-ville. Oslo et Copenhague vont quant à eux jusqu’à interdire tout véhicule diesel les jours de forte pollution.

 

 

Copyright graphiques : crit-air.fr/Green-Zones GmbH
Texte : Caroline Paboeuf

Futuristes, les voitures volantes ? Les véhicules du deuxième millénaire tels qu’on les imaginait dans les films de science-fiction commencent à pointer le bout de leurs nez, du moins en théorie. A³, la filiale d’Airbus située dans la Sillicon Valley, travaille actuellement à la conception de véhicules aériens électriques et sans chauffeurs, visant au transports de passagers et de marchandises.

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Désengorger les villes

Airbus voit sur le long terme et étudie de près l’évolution des villes dans le monde. Son constat : en 2030, 60% de la population mondiale habitera en ville, soit 10% de plus qu’aujourd’hui. Avec pour conséquence directe le développement de « méga-villes » méga-peuplées et méga-engorgées. La solution pour se rendre au travail sans tomber dans trois heures de bouchons ? Le transport par les airs. En plus de permettre aux habitants de ces méga-villes des transports facilités, Airbus lorgne également du côté environnemental, en imaginant des véhicules 100% électriques.

Le projet Vahana

Vahana est un projet de taxi volant électrique et sans chauffeur aux airs de drone. Conçu dans l’idée pour un seul passager, les usagers pourraient le réserver via une application comme on le fait dans le cas de l’autopartage.

Cityairbus

Cityairbus propose quant à lui une alternative aux réseaux de transports en commun en créant des couloirs aériens au-dessus de la ville. À mi-chemin entre un hélicoptère et un drone, le véhicule pourrait selon Airbus accueillir plusieurs passagers.

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Les challenges

Si Airbus est déjà au point au niveau de l’aviation, d’autres challenges se posent pour le groupe. D’un point de vue technologique, il reste encore à développer un pilotage autonome sans risque de collision. Ensuite, il ne faut pas oublier que, pour l’instant, nulle part dans le monde les drones n’ont l’autorisation de transporter des passagers… Airbus reste pourtant confiant et mise sur l’inévitable besoin d’une alternative au transport terrestre dans des villes de plus en plus polluées et de plus en plus engorgées.

Premier test, le projet Skyways devrait voir le jour cette année. Airbus Helicopters a en effet signé un accord avec l’autorité de l’aviation civile de Singapour l’autorisant à faire circuler ses drones pour le transport de marchandises sur le campus de l’université. La compagnie espère prouver la fiabilité du système, pouvant sur le long terme encourager les États à autoriser le transport de passagers.

 

skyways

Le projet a officiellement démarré il y a un an, en février 2016. Airbus ne perd pas de temps et prévoit des tests d’aviation dès la fin 2017 et une commercialisation d’ici une dizaine d’années.  Si à l’heure qu’il est aucun prototype n’a encore été présenté, cette année 2017 pourrait nous réserver de belles surprises.

 

 

Texte : Caroline Paboeuf
Graphiques : ©Airbusgroup

Zunächst kannte man den Dortmunder Jean-Pierre Krämer nur von den TV-Sendern RTL2 oder VOX, wo er mit Kollege Sidney Hoffmann Gebrauchtwagen unter die Lupe nahm und den Traumwagen für einen Gast suchte. Mittlerweile haben sich die beiden PS-Profis geschäftlich getrennt und haben jeweils erfolgreiche Tuningschmieden am Start. Das Geheimnis ihres Erfolgs liegt dabei zum großen Teil mit Sicherheit in ihren YouTube-Channels begründet, wo sie täglich von ihren neuen Projekten berichten. Gefühlt im Wochenrhythmus werden neue Autos angeschafft bzw die Autos von Kunden präsentiert, auseinanderschraubt und mit dem gewissen Etwas versehen. Tiefer, lauter, schneller – so könnte man das Credo von Sidney Industries und JP Performance vereinfacht darstellen.

Wer sich jedoch ein paar der Videos anschaut, in denen Jean-Pierre Krämer möglichst anschaulich, einfach und mit Humor die Vorgänge in einem Motor beschreibt und wie er diese eben zu optimieren versucht, der wird schnell zum Aboboxcamper. So nennen sich die Menschen die jeden Tag punkt 11:29 Uhr im YouTube-Channel von JP Performance einfinden und so lange die Seite aktualisieren bis das neue Video angezeigt wird. Wie gesagt: ein Mal täglich. Um dieses Pensum zu schaffen hat JP extra zwei Mediengestalter eingestellt. Joni und Nobbi verfolgen ihren Chef auf Schritt und Tritt mit der Kamera und so wird man Zeuge wie Jean-Pierre Krämer zum Autohaus marschiert, um sich eine neue S-Klasse zu konfigurieren, den DHL Mann fast bespringt, weil der eine neue Felgenlieferung dabei hat, oder auch mit seinem Lamborghini Aventador (inzwischen wieder verkauft) in die Waschanlage fährt. Auch Ausflüge nach Miami oder Dubai sind keine Seltenheit.

Namhafte Firmen wie Aral oder Sonax, ROWE und Dunlop präsentieren sich mittlerweile in JPs Videos, wohlweislich dass dort 763.000 potentielle Kunden zuschauen. Das hört sich vielleicht im ersten Moment abgehoben und nach Ausverkauf an, aber der Mann ist angenehm sympathisch und trotz seines Erfolges auf dem Boden geblieben. Das gefällt auch seiner Fangemeinde. Die JP Army steht hinter ihrem „Schokohasen“, wie er selbst seine Freunde nennt. Jeden Freitag werden im Frage-Antwort-Video ihre Fragen rund um die eigenen und JPs Autos beantwortet. Seit letztem Jahr tourt Jean-Pierre Krämer, mittlerweile gefragter Interviewpartner, sogar mit einer Art Stand-up-Comedyshow zum Thema Auto durch die Stadien Deutschlands.

Garniert werden die hochwertig produzierten Videos übrigens von den Porn-Sequenzen, wo nur die Autos gezeigt werden, meistens unterlegt von Trap Musik.

Wir haben mal die schönsten, schrillsten, lustigsten Videos ausgesucht. Als kleines Geschenk zum Feierabend und zum Wochenende. Viel Spaß!

Foto: pexels.com

Wenn ein Konzept gut ist und funktioniert, wird es weiterempfohlen, und das Unternehmen wächst. So einfach ist es leider nicht immer, aber manchmal klappt genau das eben doch noch. Aber was bringt jede noch so leidenschaftliche Empfehlung, wenn innovative Mobilitätsdienstleister wie CleverShuttle um jeden Einsatz kämpfen müssen.

clevershuttle_app_buchung-berlinClever…was?

So geschah es kürzlich, dass eine Freundin aus München mir von der App und dem dazugehörigen Unternehmen CleverShuttle berichtete, dessen Service sie seit Kurzem regelmäßig nutzt.

CleverShuttle ist ein Fahrdienst bei dem Taxi und Carsharing zum sogenannten Ride Sharing verbunden werden. Per App kann der Nutzer die gewünschte Strecke und Anzahl der Mitfahrer angeben und bekommt nach kurzer Suche mitgeteilt, ob ein Fahrer in seiner Nähe ist, wann dieser ihn abholen könnte und auch wie viel ihn die Fahrt kostet – meistens einiges unter dem üblichen Taxipreis.

Grün, günstig und gesellig: CleverShuttle

Wo aber nun ist das Sharing an der Sache? Ganz einfach: Anhand der ja schon vor der Fahrt angegebenen Routen ermittelt ein Algorithmus, welche Kunden ähnliche Wege haben und lässt den Fahrer gegebenenfalls mehrere Mitfahrer an verschiedenen Stellen auf der Strecke einsammeln. Zu dieser Optimierung der motorisierten Fortbewegung kommt noch hinzu, dass die Autos von CleverShuttle grün unterwegs sind, heißt mit Elektroautos und Hybriden unterwegs sind.

Das alles war Grund genug mir die App herunterzuladen und mich für den Dienst anzumelden. Für die Anmeldung gab es direkt zehn Euro Guthaben gratis und meine Freundin bekam auch noch zehn Euro gut geschrieben, dafür dass sie mich „geworben“ hatte. Um aber ihre zehn Euro frei zuschalten, musste ich meine anbrechen. Da ich den Spaß sowieso einmal ausprobieren wollte, machten wir uns an diesem Abend einfach ganz dekadent mit dem Taxi – pardon, CleverShuttle – statt der Öffentlichen auf den Weg zum Konzert.

Der Kampf um Mobilitätsinnovation

Das ganze klappte wie am Schnürchen, aber im Auto mussten wir lernen, dass wir eigentlich ganz schön Glück hatten, überhaupt einen der grün-weißen Wagen (in München sind es wohl rote Audis) zu erwischen. Dort nämlich erzählte uns unser netter Fahrer, dass in Berlin nur ganze 10 CleverShuttle unterwegs sein dürfen. Für mehr Autos hätten die Gründer des Startups, die Schulfreunde Bruno Ginnuth, Jan Hofmann und Slava Tschurilin, nämlich in Berlin keine Genehmigung bekommen. Die Taxilobby in Berlin sei zu stark, um Alternativen in Berlin zuzulassen. Das hört man immer wieder. Aber ist das auch das Problem von CleverShuttle?

Tatsächlich bestätigt uns Bruno Ginnuth, dass CleverShuttle in Berlin derzeit nur zehn Autos im Einsatz sind. Sagt jedoch, das liege daran, dass CleverShuttle als neuartiger Fahrdienst lediglich unter einer Experimentierklausel in Berlin genehmigt wurde und er noch geprüft werde, ob der Dienst öffentlichen Verkehrsinteressen entgegen stehe. „Wir sind allerdings in einem guten Dialog mit der Stadt und Genehmigungsbehörde und zuversichtlich, bald eine Erweiterung zu erwirken“, sagt Ginnuth. Hinzu komme, dass es laut Ginnuth gar nicht so einfach sei, gute Fahrer für eine Vergrößerung des Unternehmens zu finden.

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In München sind bereits 15 Fahrzeuge im Einsatz und in Leipzig sind es auch schon elf für eine viel kleinere Fläche als Berlin. Müssen Berliner denn jetzt bangen, dass CleverShuttle einfach aus der Hauptstadt ab- und in andere Städte weiterzieht?

Ginnuth beruhigt die Berliner: „Wir sind selbst Berliner und haben CleverShuttle gestartet, um zu bleiben. Wir werden bald mehr Fahrzeuge als nur zehn auf der Straße sehen. Und andere Städte werden ebenfalls dieses Jahr noch folgen, allerdings noch nicht final klar, welche es sein werden.“

Wir jedenfalls sind jetzt schon Fans und drücken die Daumen!

 

Bilder: CleverShuttle

Jetzt schließen wir einmal die Augen und stellen uns all die Situationen vor, in denen wir ohne Google Maps einfach auf tragischste Weise verloren gewesen wären. Verhungert wären wir, erfroren womöglich, oder einfach nur echt zu spät gekommen.

Die digitalen Karten sind aus unserem Leben kaum noch wegzudenken. Ob es darum geht mal eben zu checken, wie das Restaurant aussieht, in dem wir später verabredet, oder darum, vom Smartphone die schnellste Route zum nächsten Supermarkt anzeigen zu lassen, wir sind abhängig von Google Maps. Autoatlas und mittlerweile auch viele Navigationsgeräte sind damit überflüssig.

Doch der Kartendienst des Megakonzerns ist nicht nur zur Orientierung äußerst nützlich. Dank der lustigen, manchmal auch etwas bekloppten und nerdigen Menschen im Internet ist Google Maps aber schon lange nicht mehr nur Navigationshilfe und Schlichter in Streits, um Geografiekenntnisse. Längst ist es Teil unserer Popkultur geworden. Löcher in den Karten bleiben selten unentdeckt und werden schnell zum Netzphänomen und auch Kunst und Gamedesigner haben die Karten für sich entdeckt. Deswegen folgen für euch:

Unsere liebsten Projekte aus und mit Google Maps

Sadtopographies – traurig, aber lustig

Wer bei Sadtopographies auf den ersten Blick denkt: „Haha. Witzig. Aber Fake“, liegt leider daneben. Tatsächlich existieren all die Orte, Straßen und Gewässer wirklich, die der oder die Betreiber des Instagramaccounts mit dem Motto „Somewhere to go, when you’re feeling low“ und mittlerweile über 66.000 Followern eben jenen in selbsterklärenden Screenshots aus GoogleMaps kredenzen.

Ein von @sadtopographies gepostetes Foto am

Da findet sich dann auch schon mal eine Landzunge mit dem zauberhaften Namen ‚Point no Point’ oder – äußerst makaber – eine Brücke, über welche die ‚Suicide Bridge Road’ führt. Hoffentlich ist der Name hier nicht Programm.

 

GeoGuessr – der Klassiker

Viel vergnüglicher geht es bei der Mutter aller Google Maps-Spiele zu. GeoGuessr gibt es gefühlt schon so lange wie den Kartendienst selbst und dennoch wird das Ratespiel nie langweilig.

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Der geneigte Spieler findet sich per Google Street View irgendwo auf der Welt wieder, kann sich innerhalb der Karte bewegen und umsehen und muss dann per Mausklick auf eine Google Map schätzen, wo er sich befindet. Das mag zunächst etwas öde klingen, ist es aber absolut nicht, da hier ein detektivisches Auge und Allgemeinwissen gefragt sind.

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Pursued – der Kartenkrimi

Pursued sieht GeoGuessr auf den ersten Blick ziemlich ähnlich.

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Doch muss hier nicht geschätzt werden, wo auf der Welt der Spieler „ausgesetzt“ wurde, sondern ganz genau bestimmt werden, in welcher Stadt man ist. Vorteil: Der Spieler weiß schon, dass es eine größere Stadt irgendwo auf der Welt ist, in der er sich befindet. Nachteil: Die Stadt muss in einer vorgegebenen Zeit erraten werden. Für den richtigen Kick.

 

Traubecks Träume – das Hipsterparadies

Zu Kunst und Popkultur gehören heutzutage Internetvideos genauso wie Instagrambilder und starke Tweets. Und auch für diese Webclips werden immer häufiger Teile von Karten oder Aufnahmen aus Google Maps verwendet. So zum Beispiel in diesem Video zum Song Avoiding You von Lux Repeat. Bartholomäus Traubeck hat dafür glitchy Landschaftsdarstellungen aus Google Maps mit geometrischen Figuren verbunden. Et Voila: Der Traum aller Hipster.

 

Hyperlapse – die Reise in Sekunden

Aber auch Google Street View dient als Quelle für Webvideos. Google Street View Hyperlapse ist ein Projekt der Entwickler von Teehan+Lax Labs. Diese dachten sich als der Trend zu beeindruckenden Timelapse-Videos aufkam, dass sich die Bilder für diese Bewegtaufnahmen doch am allerleichtesten aus dem allen bekannten Google Street View gewinnen lassen. Sie schrieben einen Code, der es erlaubt die Bilder aus Street View in einer Vorwärtsbewegung mit einer Geschwindigkeit von 60 Bildern die Minute aneinander zu schneiden. Dieser ist als open Source verfügbar und lässt traumhafte Reisen um den Globus entstehen. Die Demo des Programms auf der Seite der Teehan+Lax Labs funktioniert leider nicht mehr, doch was bleibt sind wundervolle Videos wie dieses hier:

 

Titelbild: pexels/ Catarina Sousa
Bilder: Screenshots GeoGuessr/Pursued

Microsoft Connect Vehicle Platform Making Digital Driving Dreams Come True

As the Las Vegas Consumer Electronics Show (CES) wrapped up Microsoft took the opportunity to announce their new project the Microsoft Connect Vehicle Platform. Not an operating system, the platform makes use of Microsoft Azure cloud services to help auto manufacturers further innovations in connected driving. The initiative is dedicated to addressing the priorities and possibilities of connected mobility and hopes to facilitate car makers reach towards autonomous driving.

 

Microsoft hopes to empower the automotive industry with the Microsoft Connect Vehicle Platform. It allows brands to create and deliver more differentiated and customized driving experiences to consumers, who then get to benefit from these smart technologies. Using the Microsoft Azure cloud as its foundation the platform endeavors to work on the following key areas:

  • Telematics and predictive services: Use vehicle data insights to prevent downtime, alert driver to warranty and recall issues, and offer new services that will improve experience.
  • Customer insights and engagement: Connect the digital life of driver across channels.
  • Improved in-car productivity and digital life: Optimize customer experience while reducing driver distractions and safety hazards.
  • Advanced navigation: Combine navigation data from multiple sources and user data to provide personalized, dynamic location-based services.
  • Connected Advanced Driver Assistance Systems (ADAS): Optimize safety and vehicle performance, and deliver real-time information to driver.

Why drive connected?

Cars are already seen by many as a way to make life easier and connected cars offer the chance for even more comforts and convenience. Besides increased safety, a connected car can help increase everyday efficiency. A connect driving experience provides a seamless link between our digital lives and mobility needs.  Connected drivers will have access to programs like Office 365, Dynamics, Power BI, Skype for Business, Microsoft Cortana and more. In addition to assisting with personal tasks like navigating to desired destinations, alerting drivers to maintenance issues or booking appointments and setting reminders, these intelligent services can offer greater business productivity as well.

Who’s already on taking off on the road towards connectivity?

Microsoft is not aiming to build its own connected car but rather partner with automakers and give them the tools to create their own brand-oriented connected mobility solutions. So far Renault-Nissan are already on board and have officially stated that Microsoft Connected Vehicle Platform will be part of its next-generation of connected vehicles. The cars will feature advanced navigation and predictive maintenance capabilities. Volvo will introduce Skype for Business into its latest 90 Series vehicles and BMW is also working with Microsoft. At CES the brand presented its vision of using Microsoft Cortana voice-control systems, available already on PCs and smartphones, into BMW cars as well.

Check out the video to learn more about the Microsoft Connected Vehicle Platform:

With the stage set for ever bigger and better technological advancements to grip us in 2017, there is also a darker story unfolding behind the scenes. What is the environmental cost of the tech boom, and where does old tech go to die?

Scaling Mount E-Waste

E-waste is the by-product of discarded electrical appliances, such as mobile phones, televisions and computers. As new trends grip the tech market and propel sales into overtime, the amount of e-waste being generated is booming. In the decades to come not only will rapid product turnover contribute to inflating scales of waste, but the fact that the entire global community is becoming increasingly digitalised.

Back in 2014 the United Nations University, the global body’s think thank and post-grad teaching organisation, conducted a thorough study of the world’s management of this new kind of waste. Using data that was taken from 2010 through to its moment of publication, it made predictions as to the rapid growth rate of e-waste. The report found that globally 41.8 million tonnes of electronic waste was produced in 2014, and it is believed that less than one-sixth of that was properly reused or recycled. The cost for this scale of dumping? A staggering $52 billion to the global economy.

The predictions for the future are even more stark: in 2018 global e-waste is expected to exceed 55.1 million tonnes.

personal tech items

The Global Outlook

Although Europe generates less overall e-waste than Asia and the Americas, as a continent it has the highest annual quantity per inhabitant, measuring at 15.6kg/person. With only an estimated 35% of waste processed in official collections and recycling systems, it is believed that the amount of e-waste that is mismanaged within the EU exceeds that shipped undocumented abroad by more than 10 times (400,000 tonnes).

For many, it is the exponential growth of the markets in East and Southeast Asia which are the greatest cause for concern when it comes to tech waste. The boom of affordable gadgets has led to a market flooded with all kinds of new technology, encouraged by a keen audience. The amount of waste discarded in the region increased by about two-thirds between 2010 and 2015, with projections for the future to continue this trend. China, Japan and India are the three greatest generators of waste and, whilst the former two countries have formulated extensive strategies to try to combat excessive waste, concerns are being raised as to the viability of many countries‘ long-term plans for managing the projected amount of waste.

Unfortunately in many areas there is little to no legislation regulating how electrical refuse is dealt with, with much of it simply abandoned in enormous landfill sites. On the African continent, in 2014 only Cameroon and Nigeria had enforced national e-waste laws. Political agendas and a lack of infrastructure often compound the problem, which has left some areas in the grips of a dumping crisis, as has been seen in western Africa.

Tokyo bright lights

Looking Ahead

Although the report creates a bleak outlook, there is hope that these figures may spark an impetus for change. Ruediger Kuehr, who runs the UNU’s sustainable cycles programme and co-authored the 2014 report, has pointed out that;

‚[a single smartphone] uses more than half the elements in the periodic table, some of which are very rare, and in the longer run will be exhausted without recycling.‘

Indeed, without a proper look at how to reuse and recycle these materials, in the not too distant future we will not only be working out where to bury our old tech items, but where to find our new ones.

Mittlerweise sollte auch der letzte von euch die Silvesterstrapazen verarbeitet haben und aus dem Neujahrsurlaub zurückgekehrt sein. Zeit, sich mal ein bisschen damit zu beschäftigen, was uns eigentlich im Autojahr 2017 so alles erwartet. Neben ein paar wichtigen Gesetzesänderungen und Änderungsplänen wollen wir euch hier auch darüber informieren, was denn in Sachen E-Auto 2017 auf uns zukommen könnte oder vielleicht sogar muss. Aber zunächst die Dinge, die schon feststehen, ob wir das wollen oder nicht.

Was ist neu seit dem 1. Januar 2017?

„E-Bikes frei“

Pedelecs mit einer Geschwindigkeit von bis zu 25 km/h dürfen nun auch auf Radwegen gefahren werden, sofern diese mit dem Hinweisschild „E-Bikes frei“ ausgestattet sind.

Weniger Motorraddreck

Auch für Motorräder gibt es 2017 Neuerungen. So gilt für diese nun nicht mehr die Euro-3-Norm sondern die Euro 4. Das bedeutet, dass der Schadstoffausstoß der Maschinen um mehr als die Hälfte geringer sein muss als bisher und auch der Geräuschpegel muss reduziert werden. So darf ein Motorrad von 175 Kubik nicht mehr als 80dB(A) erreichen.

motorrad 2017

Tesla-Käufer, zur Kasse bitte

Seit dem 01.01.2017 müssen Tesla-Käufer an Schnellladestationen selbst zahlen, erhalten jedoch eine Gutschrift von 400kWh jährlich. Bisher konnten Tesla-Fahrer an den ausgewiesenen Stationen umsonst Strom tanken. Nun tragen sie den Energiepreis abhängig von der Zeit und regionalen Stromkosten selbst.

Dies gilt nicht für vor 2017 zugelassene Fahrzeuge und auch solche nicht, die noch 2016 bestellt und bis zum 01.04.2017 ausgeliefert werden.

Gigaliner aus der Probezeit

Die bereits auf deutschen Straßen getesteten Lang-Lkw dürfen nun offiziell auch weiter bei uns unterwegs sein. Nach bestandener Probezeit sind die Gigaliner nun in Deutschland zugelassen. Lediglich in den Bundesländern Saarland und Berlin sind die Groß-Lkw nicht erlaubt.

Führerschein teurer

Die Gebühren für die Führerscheinprüfungen wurden dieses Jahr angezogen. So kostet die theoretische Prüfung auf Papier statt bisher 11 Euro nun 11,90 Euro, für Prüfungen am Computer müssen Prüflinge 10,60 Euro löhnen. Aber auch praktische Führerscheinprüfungen sind mit Jahresbeginn teurer geworden. So zahlt der Führerscheinanwärter statt der ehemals 84,97 Euro nun 91,75 für eine Pkw-Prüfung und 121,38 Euro statt vorher 112,81 Euro für die Prüfung auf dem Motorrad.

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TÜV ebenfalls teurer

Auch die Hauptuntersuchung des TÜVs ist seit Jahresanfang teurer. Je nach Bundesland kostet die HU nun 35 oder 54,86 Euro.

Klima fürs Klima

In Sachen Umweltschutz geht es nicht nur den Motorrädern an den Kragen. Klimaanlagen dürfen nicht mehr mit einem Treibhausgas mit einem Global Warming Potenzial (GWP) über 150 befüllt werden. Ausnahmen sind Anlagen mit Typgenehmigung vor dem 01.01.2011 und Einzelgenehmigungen für Geräte, die seit dem 01.01.2017 erstmals in den Verkehr gebracht wurden.

Mehr 30er-Zonen

Gemeinden können jetzt leichter 30er-Zonen einrichten. Bisher war dies nur an nachgewiesenen Unfallschwerpunkten möglich. Nun aber können die Zonen auch ohne diesen Nachweis eingerichtet werden.

Autoampeln für Radfahrer

Ebenfalls wichtig für die Radler unter euch: Habt ihr euch bisher ganz richtig an den Fußgängerampeln orientiert, wenn es keine Verkehrsleuchten explizit für Radfahrer gab, gelten für euch nun die gleichen Ampeln, wie für den Rest des rollenden Verkehrs.

Rettungsgasse immer links

Rettungsgassen werden seit Beginn diesen Jahres unabhängig von der Spurenzahl einer Straße immer zwischen der äußersten linken und der Spur rechts davon gebildet.

Was kommt womöglich noch auf uns zu?

Neben den bereits beschlossenen Gesetzen erwarten uns 2017 neben der Entscheidung, ob nun eine Pkw-Maut für Deutschland kommt oder nicht, außerdem einige weitere Abstimmungen über Gesetzesentwürfe zu Verkehr und Auto.

Rennen sollen Straftat werden

Die neuen Führerscheinpreise könnten unter anderem für Fans illegaler Straßenrennen bald interessant werden. Ein Gesetzesentwurf sieht vor, dass Teilnehmer an illegalen Straßenrennen statt mit bisher 400 Euro und einem Monat Fahrverbot als Strafe künftig mit hohen Geldbußen oder auch bis zu zwei Jahren Haft und der dauerhaften Abgabe ihres Führerscheins rechnen müssen. Um diesen wiederzubekommen, müssten Verurteilte dann noch einmal durch Fahrschule und -prüfungen.

handy am steuer 2017

Blechen fürs Handy am Steuer

Auch die Handynutzung hinter dem Lenkrad soll teurer werden. Geldstrafen sollen von 60 auf 100 Euro für Autofahrer und von 25 auf 55 Euro für Radfahrer angehoben werden. Außerdem ist ein zusätzliches Verbot von Tablets, E-Readern und Videobrillen am Steuer geplant.

Strafen für Gaffer

Menschen, die Rettungskräfte oder Polizei und Feuerwehr an Unfallstellen behindern, weil sie fotografieren, filmen oder einfach nur im Weg stehen oder sitzen, ohne selbst zu helfen, sollen künftig dafür belangt werden können. Der Gesetzesentwurf sieht für die Behinderung von Rettungseinsätzen Freiheitsstrafen von bis zu einem Jahr oder Geldbußen vor.

Was macht das E-Auto 2017?

Sein wir mal ehrlich: Auch 2017 werden keine unerwarteten Massen an Autokäufern auf die Idee kommen sich Elektroautos statt der altbewährten Verbrenner zu leisten. Das liegt zum einen an der Angst mit einem E-Auto auf der Stecke liegen zu bleiben, aber vor allem an den noch hohen Preisen der Stromer, die es im Prinzip auch nur als Neuwagen und nicht als Gebrauchte zu kaufen gibt. Was wiederum bedeutet, dass Menschen, die sich keinen Neuwagen leisten können, auch wenig Möglichkeiten haben, sich ein Elektroauto zuzulegen. Selbst wenn es gebrauchte E-Autos in entsprechenden Mengen gäbe, wäre ein Kauf selten lohnenswert, da sie nach kurzer Zeit bereits von neuer Technik überholt würden.

Da hilft leider auch jedes noch so gute Argument pro Elektroauto nicht: Solange das E-Auto aufgrund imperfekter Infrastrukturen in Produktion und Recycling besonders der Batterien und ihrer anhaltenden Kosten für die Weiterentwicklung nicht zum erschwinglichen Massenprodukt werden, werden wir die Stromer auch nicht massenweise auf deutschen Straßen antreffen.

e-cars 2017

Dem gegenüber stehen allerdings noch immer die Absichten der Bundesregierung und der EU. Bis 2030 soll der Ausstoß von Treibhausgasen innerhalb der Europäischen Union um 40 Prozent gegenüber den Werten von 1990 verringert werden. Dafür werden alternative Antriebe für Pkw gebraucht. Das sieht allem Anschein nach auch unsere Bundesregierung so, die das Ziel gesetzt hat bis 2020 eine Million Elektroautos auf deutsche Straßen zu bringen.

Bei einer Gesamtzahl von 25.502 Elektroautos am 1. Januar 2016 und nur 10.481 Neuzulassungen von E-Cars in Deutschland in den ersten sechs Monaten von 2016 trotz Kaufprämie sieht es leider nicht danach aus, als würden ohne politisches Eingreifen in den nächsten drei Jahren noch etwa 950.000 Stromer dazukommen.

Was also tun? Wie Norwegen es ab 2025 tun will, Neuzulassungen von Verbrennungsmotoren einfach verbieten? Dann wären wir wieder beim Problem, dass Autokäufer mit schmalem Portemonnaie auf der Strecke bleiben. Oder, wie Umweltministerin Barbara Hendricks es nun kürzlich vorschlug, eine Quote für Elektrofahrzeuge einführen? Wie aber diese handhaben und durchsetzen?

Das Auto- bzw. E-Auto-Jahr 2017 verspricht in jedem Fall spannend zu werden und wir halten euch, was die Entwicklungen angeht, weiter auf dem Laufenden.

In diesem Sinne: Frohes Neues!

 

Bilder in Reihenfolge: Pexels: unsplash/Sven van Bellen/Gratisography/SplitShire/Alex Mihis

Como todos los años, IFEMA celebra a finales de enero el evento turístico más importante de España: FITUR, la Feria Internacional de Turismo de Madrid. Considerada la segunda feria turística en importancia mundial, después de la ITB de Berlín, FITUR acoge anualmente a las principales firmas del sector turístico nacional e internacional y este año espera superar la magnífica cifra de 231.872 visitantes en 2016, de los cuales 124.659 fueron profesionales procedentes de más de 160 países. FITUR 2017 celebrará sus jornadas para profesionales del 18 al 20 de enero (de 10 a 19.00) y abrirá sus puertas para el público general el sábado 21 (de 10 a 20.00) y el domingo 22 (de 10 a 18.00).

Argentina y FITUR 2017

Argentina es el país socio de FITUR 2017 y presentará toda su oferta turística en Madrid, por lo que aquellos que se acerquen al stand argentino tendrán la oportunidad de conocer #ArgentinaWorldFriendly, la nueva marca turística del país, y de recopilar información sobre los clásicos atractivos argentinos como, por ejemplo, la ciudad de Buenos Aires, la cultura de Córdoba, los vinos de Mendoza, las cataratas de Iguazú o la naturaleza y paisajes de la Patagonia.

Cámara Zenit

Expositores y países participantes

Como suele ser habitual, el catálogo de empresas e instituciones que participarán en FITUR 2017 cubre todos los sectores de la industria turística y podemos encontrar desde grandes grupos hoteleros como Accor o NH, agencias de viajes clásicas como Viajes El Corte Inglés o Halcón Viajes, líneas aéreas como Iberia o Qatar Airways, y empresas de transporte y movilidad como Baleària y Sixt.

Las oficinas de turismo de los países participantes son una de los grandes atracciones de la feria y además de grandes conocidos como Estados Unidos, México, Brasil, Francia, Grecia, Egipto, Sudáfrica o Japón, FITUR es el perfecto lugar para descubrir las diferentes propuestas y novedades turísticas que tienen lugar en todos los rincones del planeta.

FITUR 2017: playa y tabla de surf

Espacios de FITUR 2017

Como mencionamos anteriormente, las empresas presentes en la feria pertenecen a todos los sectores de la industria y podemos encontrar desde compañías especializadas en turismo familiar, de compras o eventos, hasta firmas que ofrecen lo último en actividades de aventura, deportes de invierno, caza y pesca e, incluso, turismo espacial.

A lo largo de los días de feria, FITUR 2017 presentará varios eventos y FITUR Salud, FITUR B2B y FITUR GAY (LGBT) serán algunos de los más destacados. FESTITUR, el Festival de las Experiencias Turísticas, será otra de las grandes celebraciones de la feria y es que, como no podría ser de otra manera, FITUR aspira a ser, un año más, la gran fiesta del turismo internacional en nuestro país.

1.000 Personen ab 18 Jahren hat das internationale Marktforschungs- und Beratungsinstituts YouGov im Zeitraum vom 01. März bis 23.März 2016 zur Sharing Economy befragt. Die Ergebnisse zeigen dabei, dass viele Menschen dem Carsharing gegenüber bereits positiv eingestellt sind, doch noch immer Luft nach oben ist.

Die jungen Sharer kommen

Fast jeder fünfte Deutsche hat der Studie zufolge schon einmal ein Sharing-Angebot im Mobilitätsbereich genutzt. Genauer gesagt: 17 Prozent der Befragten haben bereits von einem Fahrrad, einen Roller oder auch ein Auto der diversen Sharing-Anbietern – von der Deutschen Bahn mit Call a Bike über Bosch und seine Coup-Elektroroller bis hin zu Carsharing-Plattformen wie Drive Now oder Car2Go – Gebrauch gemacht. Und die Mehrheit (90 Prozent) von ihnen würden und werden es wahrscheinlich wieder tun.

Ganz vorn mit dabei sind wenig überraschend die jungen Mobilen von 18 bis 29 Jahren. Die Sharing Economy scheint Teil ihrer Sozialisierung und so haben sogar schon 29 Prozent von ihnen bereits ein Angebot im Mobilitäts-Sharing in Anspruch genommen. Zum Vergleich: In der Generation 60+ sind es lediglich 11 Prozent, die bereits ein Mobilitäts-Sharing-Angebot genutzt haben.

Neben den Zahlen zur bisherigen Nutzung von Bike-, Roller- oder Carsharing haben die Damen und Herren von YouGov außerdem erfragt, welche Faktoren eine Rolle spielen, um die Nutzer an die Angebote zu binden. Dahingehend zeige sie Studie, laut Markus Braun, dem Leiter der Abteilung für Business Reports bei YouGov, dass die Verfügbarkeit der Angebote sowie ein möglichst geringer Aufwand bei der Buchung und Abrechnung eine wichtige Rolle für Kunden von Stadtrad, Drive Now und Co. spielen.

Eigenes Auto vs. Carsharing

Bezogen auf das Carsharing zeigt die Studie, dass nicht nur Personen ohne Auto die geteilten Fahrzeuge attraktiv finden. Fast jeder fünfte deutsche Autobesitzer (18 Prozent) kann sich vorstellen entsprechende Angebote zu nutzen. Einige von ihnen können sich sogar vorstellen zu Gunsten von Carsharing auf ein eigenes Auto zu verzichten. Erstaunlicherweise wären mehr Männer (21 Prozent) als Frauen (15 Prozent) dazu bereit vom Privat-Pkw aufs geteilte Auto umzusteigen.

Das kommerzielle Carsharing stellt dabei für die meisten Autofahrer unter den Befragten (46 Prozent) die bessere Variante dar, wobei sich insgesamt fast die Hälfte der Befragten (48 Prozent) vorstellen könnten, sowohl Angebote von Unternehmen als auch Privatpersonen zu nutzen.

Unter den potenziellen Nutzern ist ein günstiger Preis (58 Prozent) der wichtigste Aspekt bei der Nutzung von Carsharing-Angeboten, gefolgt von Standortunabhängigkeit (38 Prozent).

Was heißt das?

Carsharing und weitere mobile Sharingformen scheinen ein mittlerweile akzeptierter Teil unserer mobilen Gesellschaft zu sein. Dennoch zeigt die noch eher geringere Bereitschaft (15 und 21 Prozent) von Autofahrern mit eigenen Fahrzeugen, auf diese zu verzichten und auf das Carsharing umzusteigen, dass noch einiges an Aufklärung und Verbesserung der Angebote hin zu den Wünschen der potenziellen Nutzer nötig sein wird, um die Privatpkwfahrer davon zu überzeugen, dass sie kein eigenes Auto mehr brauchen. Doch zeigt die Studie auch, dass eine junge Generation heranwächst, die das Sharen bereits um einiges mehr verinnerlicht hat als ihre Eltern und Großeltern und das Konzept der geteilten Mobilität im besten Falle künftig weiter vorantreibt.

Mehr dazu, wie man Nicht-Sharer von geteilten Autos überzeugen könnte, lest ihr in Kürze hier auf Roadmap in unserem Interview mit dem Sozialwissenschaftler und Verkehrsforscher Dr. Andreas Knie.

In kaum einem Land ist es so günstig gegen die Straßenverkehrsordnung (oder wie auch immer sie im Ausland genannt wird) zu verstoßen, wie in Deutschland. Die Bußgelder im Ausland sind häufig ein Vielfaches von dem, was hier gezahlt werden muss. Nahezu nirgends ist es zum Beispiel billiger 20 km/h zu schnell zu fahren als hier. Während in Deutschland dafür maximal 35 Euro berappt werden müssen, kostet dieses Vergehen in Italien laut Tabelle des ADAC mindestens 170 Euro, in Schweden geht das Bußgeld dafür bei 270 Euro los und in Norwegen kostet der Spaß sogar wenigstens 430 Euro.

Bei Alkohol am Steuer Auto weg!

Alkohol und Drogen am Steuer werden allerdings auch hierzulande ziemlich ernst genommen. Im Vergleich ziemlich hoch ist die deutsche Strafe dafür von mindestens 500 Euro. Aber auch hier gibt es Länder, die einen zu hohen Promillewert noch weitaus härter bestrafen als wir Deutschen. So kosten mehr als 0,8 Promille in Malta zum Beispiel mindestens 1200 Euro in Großbritannien bis zu 6000 Euro und in Schweden werden für über 0,2 Promille mindestens 40 Tagessätze fällig, die sich am jeweiligen Gehalt orientieren. In Dänemark und Norwegen geht für Alkohol am Steuer sogar mindestens ein Monatsgehalt drauf. Wer in Dänemark außerdem mit mehr als 2 Promille erwischt wird, muss das Auto abgeben. Dieses wird dann zu Gunsten der Staatskasse verkauft, völlig egal, ob der Fahrer Däne oder Ausländer ist.

Günstiges Deutschland: Handy beim Fahren nur 60 Euro

Auch Telefonieren während der Fahrt ist in Deutschland vergleichsweise billig. 60 Euro kostet dieser Verstoß hier, während unsere europäischen Nachbarn, Sünder da schon tiefer in die Tasche greifen lassen. So zahlen Fahrer für das Handy am Steuer in den Niederlanden etwa 230 Euro und in Spanien geht die Strafe dafür bei mindestens 200 Euro los.

Das sind nur einige von zahlreichen Beispielen, wie ein Verkehrssünden im Ausland teuer zu stehen kommen können. Eine Frage, die dabei immer wieder aufkommt:

Muss ich meine Bußgelder im Ausland überhaupt zahlen, wenn ich wieder zu Hause bin?

Zuerst einmal: Klar muss gezahlt werden, wenn ihr Mist baut! Das gestaltet sich jedoch im Fall der Bußgelder im Ausland etwas kompliziert.

Bußgelder aus dem europäischen Ausland können dank einer des Vollstreckungsabkommen zwischen den EU-Ländern und der EU-Richtline zur „Erleichterung des grenzüberschreitenden Austauschs von Informationen über die Straßenverkehrssicherheit gefährdende Verkehrsdelikte“ von 2013 auch in Deutschland verlangt oder vollstreckt werden. Aufgrund der Richtlinie ist es auch ausländischen Behörden im Fall eines Verstoßes erlaubt, auf die Daten eines Fahrzeughalters zuzugreifen. Bußgelder unter 70 Euro werden somit meist per Zustellung des originalen Strafzettels oder Bußgeldbescheides von der ausländischen Behörde eingetrieben, während Strafen über 70 Euro vom Bundesamt für Justiz vollstreckt werden.

Bei einem direkten Bescheid einer ausländischen Behörde kann es dazu kommen, dass der dieser in der jeweiligen Landessprache beim Verkehrssünder ankommt. Das heißt jedoch leider nicht, dass ihr diese einfach ignorieren dürft. Wer sich nicht kümmert, einen Anwalt bemüht oder sich das Schreiben übersetzen lässt und bezahlt, kann bei erneuter Einreise in das jeweilige Land arge Probleme bekommen.

Wer sich nicht sicher ist, ob ein Bescheid rechtskräftig ist und ob und wie dieser beglichen werden muss, sollte sich im Zweifel immer an einen Anwalt wenden.

Am besten aber, ihr lasst euch einfach nichts zu Schulden kommen und fahrt auch im Ausland den Regeln entsprechend, vorausschauend und um die Sicherheit aller Verkehrsteilnehmer bemüht. Danke!

Junge Menschen nutzen häufiger Carsharing-Angebote (Überraschung!) als ältere. Das ergab eine repräsentative Carsharing-Umfrage der Entwickler der App Carjump und des Meinungsforschungsinstituts Forsa. Dafür wurden im Oktober 2016 über 1.000 Bundesbürger befragt, die in Großstädten mit mehr als 500.000 Einwohnern leben und im Besitz eines Pkw-Führerscheins sind. Demnach ist der Anteil der Carsharing- Nutzer unter den 18- bis 29-Jährigen mit 19 Prozent am höchsten, während in der Altersgruppe der 50- bis 59-Jährigen nur sieben Prozent Gebrauch von Carsharing-Fahrzeugen machen.

Die war jedoch nicht das einzige Ergebnis der Carsharing-Umfrage. Sie ergab weiterhin, dass etwa 14 Prozent der Deutschen Carsharing nutzen, weil sie es als eine gute Alternative zum Privatauto verstehen, und vor allem Männer (17 Prozent) und elf Prozent der Frauen Carsharing nutzen. Etwa ein Drittel der Nutzer sind sogar bei mehreren Anbietern registriert. Dabei entschieden sich Singlehaushalte und Haushalte mit einem monatlichen Einkommen unter 1.500 Euro häufiger für das geteilte Auto als Mehrpersonenhaushalte und Haushalte mit höheren Einkommen.

Gute Gründe fürs Carsharing

Neben dem „Wer?“ wurde außerdem erfragt, warum Carsharing-Angebote genutzt oder eben nicht genutzt werden. Dabei ergab sich, dass die Fahrzeuge besonders dann genutzt werden, wenn es einen konkreten situativen Bedarf gibt, das heißt, das Auto für einen Einkauf, Familienausflug oder Umzug gebraucht wird. Dies gaben 60 Prozent der Befragten an.

Etwas mehr als die Hälfte der Befragten gab dazu an, dass sie Carsharing für eine umweltfreundliche und zukunftsweisende Art der Fortbewegung halten und für 49 Prozent der Befragten ist die temporäre Nutzung von Carsharing eine kostengünstige Alternative zum eigenen Auto, denn ein Statussymbol ist dieses schon für 29 Prozent der Umfrageteilnehmer nicht mehr und besonders die zeitliche und örtliche Flexibilität des Carsharings ist für die Nutzer (elf Prozent) ein klares Pro-Argument. Gerade One-Way-Fahrten erfreuen sich hoher Beliebtheit. So könne man zum Beispiel mit dem Carsharing-Wagen zur Party und mit dem Taxi oder den Öffentlichen ganz einfach zurück nach Hause fahren.

Wunsch nach mehr Parkplätzen und Fahrzeugmodellen

Nicht nur die Nutzer, sondern auch die Nicht-Nutzer von Carsharing wurden zu ihren Beweggründen befragt. Dabei heraus kam, dass diese sich unter Umständen durch eine höhere Fahrzeugdichte und mehr freie Carsharing-Parkplätze vom Autoteilen überzeugen ließen. So gaben 36 Prozent der Befragten an, dass sie sich wünschen würden nicht länger als fünf Minuten bis zum nächsten freien Auto zu brauchen und 27 Prozent der Teilnehmer, insbesondere die Frauen (31 Prozent), halten die Verfügbarkeit freier Parkplätze für besonders wichtig. Männer hingegen würden gern mehr Fahrzeugmodelle zur Auswahl haben.

Was sagt uns das?

Die Carsharing-Umfrage verrät uns vor allem, dass leider noch immer ziemlich wenige Menschen (nur 14 Prozent der Stadtbewohner mit Führerschein), in den Gegenden, wo Carsharing bereits boomen sollte – nämlich im urbanen Raum – von den geteilten Autos Gebrauch machen und insbesondere die älteren Generationen im Prinzip noch gar nicht (nur sieben Prozent der 50- bis 59-Jährigen nutzen die Fahrzeuge) vom Carsharing überzeugt sind. Das ist äußerst schade.

Aber der Fakt, dass sich mehr als ein Drittel der Nicht-Nutzer unter bestimmten Bedingungen überzeugen ließen, zeigt immerhin, dass sie dem Carsharing gegenüber durchaus positiv eingestellt sind. Und wer weiß schon so genau, ob nicht schon viel mehr Leute privat ihr Auto mit Freunden, dem Nachbarn oder Verwandten teilen. Denn erfasst wurde hier nur die Nutzung kommerzieller Angebote.

 

Foto: Drive Now

Seit dem Jahr 1908, als das erste Auto, das Ford Model T vom Band lief, ist die Menschheit daran gewöhnt dass Autos von einem Benzin- oder dieselgetriebenem Motor von der Stelle bewegt werden. Das ist jetzt schon seit ungefähr einhundert Jahren so. Doch die Technologie hat sich inzwischen rasant weiterentwickelt und es ist absehbar dass Verbrennungsmotoren bald ins Museum verbannt werden. Mehr und mehr Hersteller gehen dazu über auch elektrisch angetriebene Fahrzeuge herzustellen.

Vorteile von E-Cars

E-cars bieten aufgrund ihres Batterieantriebs und der Miniaturisierung der Technik ganz neue Möglichkeiten der Kraftübertragung. Während ein Verbrennungmotor aufgrund seines Volumens in der Regel nur vor oder hinter der Fahrgastzelle Platz finden kann, können Elektromotoren aufgrund ihrer kompakten Bauweise alternativ auch direkt am Rad platziert werden. Jedes Rad wird dann von einem separaten Motor angetrieben. Die Vorteile liegen auf der Hand. Ein Elektromotor ist per se schon mal effizienter als ein Verbrennungsmotor, bei dem viel zu viel Energie durch Wärme und Reibung der vielen beweglichen Teile im Motor und beim Transport der Energie vom Motor zu den Rädern verloren geht. Beim Elektromotor hingegen sieht die Sache schon anders aus. Hier gibt es keinen Motor im herkömmlichen Sinn. Eine Batterie erzeugt hier die Energie um den „Läufer“, das rotierende Teil des Motors in Bewegung zu halten. Es gibt Fahrzeuge bei denen nur ein Elektromotor den Antrieb übernimmt, bei anderen Modellen ist es ein Motor pro Achse und eine weitere Variante ist eben der Radnabenmotor bei dem pro Rad ein Motor vorhanden ist.

Vorteile vom Radnabenmotor:

Durch die extrem kurzen Übertragungswege, vom Motor zum Rad geht nur wenig Energie verloren. Das Ergebnis ist ein extrem hohes Drehmoment, welches sich in einem rasanten Beschleunigungsverhalten des Fahrzeugs äußert. Ein weiterer Vorteil ist natürlich die enorme Platzersparnis. Anstelle des Motorraums kann ein zweiter Kofferraum beispielsweise installiert werden. Ganz neue Raumkonzepte können erschlossen werden. Bei besonders clever gebauten Varianten des Radnabenmotors können sogar alle 4 Räder um 90 Grad eingelenkt werden. Seitliches Einparken wird somit ein Kinderspiel.

radnabenmotor grafik

Der deutsche Zulieferbetrieb Schäffler ist einer der führenden Hersteller von Radnabenmotoren und hat bereits testhalber einen Ford Fiesta mit seinem e-Wheel Drive augestattet. E-Mobilität, Industrie 4.0 und urbane Mobilität stehen ganz oben auf der Agenda des Familienbetriebes.

Si eres el propietario de un coche eléctrico o tienes intención de alquilar uno, seguro que te has preguntado, o te estás preguntando, dónde y cómo vas a recargar tu vehículo. Y es que, aunque la autonomía de los automóviles eléctricos sigue creciendo, si tienes una idea general de todos los puntos de recarga eléctrica disponibles en Madrid podrás moverte por la ciudad sin miedo a quedarte tirado en medio de la calle por no encontrar a tiempo la estación de carga más cercana.

Como decíamos, gracias a las mejoras tecnológicas de las baterías, la autonomía de los vehículos eléctricos ha aumentado considerablemente. Por ejemplo, el Nissan Leaf –un coche eléctrico económico– tiene una autonomía de 199-250 km, el BMW i3 –un automóvil eléctrico de gama alta– cuenta con una de 300 km, mientras que el Tesla Model S –una berlina eléctrica de lujo– dispone de nada menos que 507 km de autonomía. Aun así, más vale prevenir que lamentar.

Puntos de recarga eléctrica en Madrid

A pesar de que la infraestructura de recarga eléctrica de Madrid está en una fase incipiente, puedes encontrar estaciones de recarga tanto en la calle como en parkings públicos y privados. Los puntos de recarga eléctrica ubicados en la vía pública están disponibles las 24 horas del día y principalmente se encuentran en la almendra central, la cual incluye a los distritos de Centro, Chamberí, Arganzuela, Salamanca, Retiro, Chamartín y Tetuán. Puedes consultar la dirección exacta de las estaciones de recarga eléctrica en este mapa.

¿Cómo recargar un coche eléctrico en Madrid?

Tanto IBIL como GIC, las dos compañías que actualmente gestionan los puntos de carga situados en la vía pública, disponen de estaciones con varios tipos de recarga, que incluyen la semi-rápida –de una hora a una hora y media de duración– y la recarga rápida –de 15 a 30 minutos–. Estos puntos de recarga cuentan con diversos enchufes y los más comunes son los conectores Schuko y Mennekes.

Al utilizar una corriente continua de alto voltaje, los puntos de recarga públicos te permiten recargar hasta un 80% de la batería en una media hora. Para poder acceder a ellos hay que solicitar una tarjeta de recarga a alguna de las empresas gestoras de la red. También existen diversos acuerdos de interoperabilidad y de cooperación entre varias compañías. Por ejemplo, los conductores de la gama  BMWi pueden recargar sus coches eléctricos en la red de GIC.

Schnittige Rückseite des i8 Spyder Cabrios

Langweilige Apps von Verkehrsbetrieben, in die ihr erst Standort, dann Ziel und die Abfahrt- oder Ankunftzeit einhacken müsst, sind sowas von 2015. Wer wirklich was auf sich hält benutzt ab sofort einen Chatbot, um herauszufinden, wie er am schnellsten nach Hause oder, wie es die Jahreszeit eben so will, zum nächstgelegenen Weihnachtsmarkt kommt.

Mobilitäts-App-Entwickler moovel hat genau so einen Chatbot entwickelt und ihn nach der Einbindung in den Messenger Slack nun auch in den von nahezu uns allen täglich genutzten Facebook-Messenger integriert. Damit können 08/15-Facebook-Nutzer, wie du und ich, jetzt ganz einfach und angeblich überall auf der Welt über einen Facebookchat mit einer Maschine herausfinden, wo sie die nächste Station öffentlicher Verkehrsmittel finden. Außerdem können sie durch die Beantwortung der simplen Fragen des Chatbots herausfinden, wie sie am besten, von dort wo sie sind – dem allseits bekannten A – zu einem gewünschten Ort B kommen.

Und so funktioniert der Chatbot:

Lasst euch einfach mit diesem Link direkt zum Messenger weiterleiten. Der Chatbot wird euch dort sofort seine Dienste anbieten. Ihr könnt dann entweder per Ortungsdienst euren Standort ermitteln lassen oder einfach selbst eingeben, wo in etwa ihr euch befindet. Der Chatbot wird euch anschließend ein paar nahegelegene Bahn-, Bus- oder sonstige Stationen anbieten und wissen wollen, ob diese euer Start oder Ziel sein soll. Anschießend wird er euch bitten, das jeweils andere, also Ziel- oder Startort/-station einzugeben, um euch im letzten Schritt die schnellste Verbindung mit den Öffentlichen oder in Zweifel sogar Carsharing-Fahrzeuge auszuspucken.

moovel Chatbot

Was bringt es?

„Das ist ja alles schön und gut“, denkt ihr euch. „Aber wozu soll das Ganze denn nun gut sein?“

Im Grunde ist der Chatbot von moovel zugegebenermaßen noch eine Spielerei, doch zeigt er schon jetzt, wie viel einfacher Orientierung und Fortbewegung noch werden. Denn wer dachte Google Maps wäre schon die Erfindung des Jahrtausends, der wird sich freuen, wenn er künftig alle Navigation aus einer App bezieht, die er sowieso auf seinem Smartphone hat, dem Messenger, und in deren Funktion er sich nicht erst einfuchsen muss. Der Chatbot stellt gezielt genau die richtigen Fragen, um uns ganz lässig nicht nur durch die Stadt zu bringen, deren Öffi-App wir sowieso auf unserem Telefon haben, sondern durch die ganze Welt. Und es wird nicht mehr lange dauern und es wird Chatbots für den Facebook Messenger geben, die uns neben unseren Mobilitätsangelegenheiten noch ganz andere Wünsche erfüllen werden.

Das können wir gruselig oder großartig finden. Faszinierend und irgendwie auch ganz schön praktisch ist es allemal.

 

Bilder: Daimler/ moovel

On connaît l’autopartage tel que le proposent des sociétés comme Autolib‘, Ubeeqo ou Citiz. Bien pratique, ce type de services s’adresse à des utilisateurs sans véhicule personnel, n’ayant besoin d’effectuer que de courts trajets ponctuels. Avec un nombre illimité d’utilisateurs, même si les voitures sont nombreuses, impossible cependant de garantir la disponibilité d’une auto près de chez vous ; embêtant si vous avez un trajet urgent à effectuer. S’inspirant de ce modèle de gestion du véhicule par application mobile, de nouvelles initiatives se penchent désormais sur un système d’autopartage en petits groupes.

 

La Smart Key Box de Toyota

Imaginez : vous habitez en ville et utilisez votre voiture personnelle de temps en temps, mais les transports en commun vous permettent de vous rendre au bureau plus rapidement en évitant les embouteillages et sans perdre de temps à chercher une place de parking.  Ou encore : vous utilisez votre voiture quotidiennement et votre famille, vos amis ou colocataires s’en servent de temps à autre pour leurs courses et sorties. La Smart Key Box de Toyota, actuellement testée en Californie, pourrait être la solution idéale pour amortir vos frais d’automobile en la partageant avec les utilisateurs de votre choix. Les clés sont remplacées par un boîtier situé dans le véhicule, permettant aux conducteurs autorisés de l’ouvrir via une application mobile.  Ce système permet un prêt optimalisé de la voiture avec des utilisateurs sûrs et un partage au plus juste des frais de véhicule. Plus besoin non plus de se soucier de la remise des clés, un gain de temps précieux pour les agendas chargés !

Toyota Smart Key Box
Comment
çfonctionne ?

La Smart Key Box de Toyota peut être utilisée avec n’importe quel véhicule, rendant possible l’autopartage pour n’importe quel propriétaire. La seule nécessité est de posséder un smartphone. Via l’application, le propriétaire affiche les plages horaires auxquelles il est possible d’emprunter la voiture. Les utilisateurs autorisés devront réserver le véhicule et pourront l’ouvrir via une connexion Bluetooth grâce à un code d’authentification.

 

L’autopartage en petit groupe débarque à Paris

En attendant l’arrivée de la Smart Key Box en France, Nissan devrait d’ici avril 2017 lancer son propre groupe d’autopartage en cercle restreint à Paris. Le constructeur propose de créer de petits groupes d’utilisateurs, colocataires longue durée d’une Nissan Micra. Dès mi-décembre, les intéressés pourront soumettre leur groupe ou demander à rejoindre des colocataires inconnus, dont les besoins concordants auront été étudiés par un algorithme.

All New Nissan Micra

Nouvelle Nissan Micra

Comment çfonctionne ?

Un agenda est prévu sur l’application pour réserver ses créneaux d’utilisation. Équitable, le système prévoie un paiement mensuel pour chaque utilisateur séparément selon l’utilisation qu’il aura fait de la voiture, comprenant l’assurance et les frais d‘

entretien. Une limite de 15 000 km est prévue par an et par utilisateur.

Avantages et inconvénients :

À la différence d’un service d’autopartage lambda, Nissan Get&CO Micra offre l’avantage d’un petit groupe d’utilisateurs, particulièrement intéressant pour les familles, colocataires ou voisins n’ayant pas besoin de faire des trajets réguliers.  Si l’on souhaite rejoindre un groupe d’inconnus, le service semble toutefois moins avantageux. Avec une seule voiture à disposition, mieux vaut donc pouvoir s’entendre sur les plages horaires et le lieu de stationnement…

 

 

Texte : Caroline Paboeuf

Illustrations : Toyota, Nissan

Say Goodbye to Car Keys with Toyota’s Keyless Smart Box

Toyota is working on developing a initiative that will allow car-sharing users to unlock and start cars with their Smart Key Box. Users would download an app that paired with Toyota’s Smart Key Box mounted inside the car, restrict access to the proper user. The project is part of the manufacturer’s Mobility Services Platform (MSPF) that focuses on bringing new technologies to the automotive world and will be run by Toyota Connected a division of the brand that works on developing mobile software and services for connected vehicles.

Smart Key Box install

Keyless Entry for a Better UX

Created with car-sharing platforms in mind the app would elimate the need for physical keys or fobs to enter and use vehicles. In 2017 a pilot program is scheduled to launch in San Francisco in collaboration with Getaound, a US car-sharing company that allows car owners to make money by “renting” out their private vehicles to others. Toyota’s vehicle leasing unit, Toyota Financial Services, is also developing a system to use the testing ground as a way for leasing customers to pay towards their account with income generated by renting their Toyota Prius or Lexus vehicles through Getaround. Around 500 Prius and Lexus vehicles are planned to take part in the intial stage. If all goes well Toyota is considering using the technology to begin an unmanned car rental business in Japan.

While the idea of not have to use a car keys might be newer news to those in North America, European companies have already started testing out keyless entry. The car rental providers Sixt rent a car, for example, have rolled out their Fastlane service in Switzerland. The Sixt app lets users rent a car and then use their mobile device to open and enter the vehicle. No matter how long it takes for keyless entry to really take off in the US, one thing is for sure, it will certainly be worth the wait if we never again have to ask „Have you seen my car keys?“

all images courtesy and copyright of Toyota

Jaguar I-Pace key facts

The hottest news in the auto world today comes from British luxury brand Jaguar. They have unveiled the plans for their new concept car, the I-PACE, which is a fully electric five-seater managing to be both a high performance vehicle and a family SUV at once. The move is widely regarded as a firing shot in the direction of Tesla’s Model X, which to this point has dominated the high-end electric SUV market.

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The Jaguar I-Pace: the Hard Facts

  • 500km range on the NEDC cycle
  • 80% charge in just 90 minutes using 50kW DC charging
  • 0-60mph in around 4 seconds
  • Two, super-intuitive touchscreens
  • 700Nm of instant torque
  • Zero tailpipe emissions

 

A New Design to Fit New Technology

Ian Callum, Jaguar’s Director of Design, has celebrated the task of creating a purely electric vehicle, citing the new and dramatic design opportunities it offers as inspiring. With an incredibly compact flat Lithium-ion battery that is positioned low and right between the axles, not only does the vehicle’s centre of gravity drop and improve agility but there is simply a huge amount more space to play with.

Despite beginning the project with a blank sheet of paper, Callum has also expressed surprise at ‘how readily this type of vehicle took to being a Jaguar.’ And the I-Pace certainly does look like a Jaguar: clean lines, high attention to aerodynamics, a beautifully finished interior that proudly wears its British craftsmanship and an astonishing level of practicality and space. ‘Proportion, balance and stance’; these three integral factors of any Jaguar design can be found here by the bucket load.

Interior view of the I-Pace

Looking Forward

Jaguar are currently releasing the news of the I-Pace as a concept, but are expecting to roll something near-identical off the production line in 2018. If the rumours are true the price of the vehicle will be at a relative snip to its greatest competitor the Model X and make the vehicle a serious aggressor in the luxury SUV market.

All images courtesy of Jaguar Land Rover

Smartphones haben unser Leben im vergangenen Jahrzehnt in vielerlei Hinsicht einfacher gemacht. Sei es, um unseren Alltag zu planen oder herauszufinden, wann im Kino der beste Moment ist, um schnell mal zum Pipihäuschen zu eilen. Warum soll das Telefon nicht auch als Reisehelfer eine gute Figur machen? Tatsächlich gibt es schon jetzt zahlreiche Apps, die uns die kleinen und großen Trips um die Welt erleichtern können. Wir haben euch mal eine Auswahl der besten Reiseapps zusammengestellt, die auch sonst äußerst praktisch sind.


Frameographer

Urlaubsvideos und -bilder waren gestern. Mit Frameographer könnt ihr die Sonne im Zeitraffer untergehen lassen oder die Tour in die Anden als Daumenkino inszenieren. Laut Entwickler lassen sich mit der App ganz intuitiv Stop Motion Filmchen aus einzelnen Bildern oder aber Videos in Zeitraffer oder Zeitlupe erstellen. Das ist nicht nur auf Reisen praktisch: So ein Knetmännchenfilm als Geburtstagsgruß hat doch was! Großes Manko der App: Sie kostet stolze 4,99 Euro und ist nur im Appstore von Apple erhältlich.

Download: iOS


WiFi Magic

wifimagic

Diese App ist nicht nur auf Auslandsreisen, sondern auch in der Heimatstadt oder auf Besuch bei Freunden ziemlich nützlich. Wifi Magic ist sowohl für iOS als auch Andriod erhältlich und zeigt dem Nutzer auf einer Karte freiverfügbare Wlan-Netzwerke inklusive der nötigen Passwörter an. Funktionieren tut das Ganze wie ein soziales Netzwerk. Die User sammeln die WiFis samt Passwörtern selbst und stellen sie anderen Nutzern zur Verfügung, die wiederum auch jederzeit aktualisieren können, sollte sich ein Passwort oder Wlan-Name einmal ändern.

Download: Andriod | iOS


Field Trip

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Ganz ähnlich dem Netzwerk und der zugehörigen Reiseapp Tripadvisor kann auch Field Trip genutzt werden, um sich Bars, Cafes, Restaurants und Sehenswürdigkeiten in der Umgebung anzeigen zu lassen und so eine neue Stadt oder auch nur Nachbarschaft zu erkunden. Während Tripadvisor jedoch auf einer Community basiert, die sich gegenseitig Empfehlungen ausspricht, werden die Tipps für Field Trips von richtigen Redaktionen recherchiert und geschrieben. Das macht gerade die Informationen zu Sehenswürdigkeiten, Ausflugszielen und historischen Stätten um einiges detaillierter und neben den Urlaubern können selbst jene, die sich für absolute Insider halten, mit Field Trip auf dem nächsten Spaziergang noch etwas lernen.

Download: Andriod | iOS


Kindle

kindle

Klingt nach einer billigen Empfehlung, aber auf Reisen gibt es tatsächlich nichts Besseres als zu schleppendes Gewicht in Form von Büchern zu sparen und die Lektüre, ob Roman, Sachbuch für Arbeit oder Studium oder auch Reiseführer einfach als Kindle-Version auf seinem Smartphone, Tablet oder E-Book-Reader mitzunehmen. Im Koffer bleibt so Platz für wichtige Dinge wie einen extra Wechselschlüpfer oder Souvenirs.

Download: Andriod | iOS


Sicher reisen

sicherreisen

Diese App ist eine offizielle Veröffentlichung des Auswärtigen Amtes. Ziemlich selbsterklärend können sich Reisende hier Informationen über ihr favorisiertes Reiseland zusammensuchen, von möglichen Reisewarnungen, Notfalltipps, Sicherheitshinweisen bis zu nötigen Vorbereitungen und Zollregelungen. Nicht nur auf Reisen praktisch, sondern auch, wenn man einfach mal ein bisschen klugscheißen will.

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Flush Toilet Finder

Klingt albern, aber wer schon mal so richtig, riiiiiichtig für kleine Königstiger musste, weiß ganz genau, dass eine öffentliche Toilette in diesem Moment Leben retten kann. Um niemals in die bedrohliche Situation einer viel zu vollen Blase kommen zu müssen, gibt es Flush Toilet Finder. In der App sind über 190.000 öffentliche Klos weltweit verzeichnet, von denen ihr euch auch ohne Internetverbindung jederzeit die nächstgelegenen stillen Örtchen auf einer Karte anzeigen lassen könnt. Zudem wird euch angezeigt, ob die Toilette etwas kostet oder vielleicht ein Schlüssel von irgendwo benötigt wird. Nutzer der App können außerdem stetig neue Toiletten hinzufügen und die vorhandenen bewerten oder sogar melden, sollte damit etwas nicht okay sein. Definitiv eine der wichtigsten Reiseapps.

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City Maps 2Go

ulmon

Manch einem werden die Offline-Karten der City Maps 2Go schon unter dem Namen Ulmon bekannt sein. Das Time Magazine bezeichnete die Gratis-Reiseapp (oder besser Reiseapps) als „eine unerlässliche App für Reisende“ und damit hat es Recht. Denn mit Ulmon braucht sich kein Reisender mehr Sorgen machen, sich womöglich im Urlaub zu verlaufen, und muss dafür nicht mal frech hohe Roaming-Gebühren zahlen. Die Apps von Ulmon funktionieren ganz ohne Internet, nur mit Ortung über GPS und helfen als eine Art Google Maps für Internetlose bei der Orientierung in der Ferne. Einfach vorher die Karte des Reiseziels herunterladen oder einfach nur die App für die jeweilige City installieren und ab geht’s. Sparfüchse können sich auch einfach ganz clever die Map der Heimatstadt downloaden und bei der Navigation Datenvolumen sparen.

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Skyscanner

skyscanner

Mit Sicherheit gibt es noch einige andere Websites und Apps, mit denen sich Flüge suchen und Preise vergleichen lassen. Skyscanner aber ist einer unserer Favoriten, wenn es darum geht, den passenden und günstigsten Flug von A nach B zu finden. Mit der simplen und intuitiven Oberfläche lassen sich nicht nur Flüge für konkrete Daten suchen, sondern auch Vergleiche anstellen, wann eine bestimmte Strecke mit dem Flugzeug am preiswertesten zurückgelegt werden kann. Es fallen keine Gebühren und nix an. Wer sich für einen Flug entscheidet, wird einfach zur Airline oder auf die Seite des Reiseanbieters weitergeleitet. Super praktisch auch für Pendler oder jene, die Freunde in einer fremden Stadt besuchen wollen und einfach nur mal checken wollen, ob sie mit dem Flieger vielleicht günstiger kommen als mit den Bahn.

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WorldMate

 

worldmate

Vielreisende, ob Business im Inland oder Weltreise am anderen Ende der Erde, werden uns zustimmen, wenn wir sagen: das ist aber mal praktisch. WorldMate erstellt ganz individuelle Reisepläne. Alles was Nutzer tun müssen, ist ihre Buchungsbestätigungen für Flüge, Hotels, Hostels, Bahnfahrten, Mietautos und Co per Mail an die App weiterzuleiten, die daraus einen Reiseplan bastelt und sogar über Gateänderungen, Verspätungen und Co informiert.

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PackPoint

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Ihr gehört auch zu der Sorte Mensch, die vor einer Reise oder einem Wochenendausflug einfach in den Koffer werfen, was sie zu fassen kriegen und hoffen, dass das richtige dabei sein wird, bis sie feststellen, dass sie keinen Pulli, aber 18 Unterhosen eingepackt haben? Oder seid ihr doch mehr der Typ, der sich vor jedem Urlaub ungefähr 15 verschiedene Packlisten schreibt und dann trotz der vielen Planung auf dem Weg zum Flughafen jedes Mal das Gefühl hat, etwas ganz wichtiges vergessen zu haben? In beiden Fällen könnte Packpoint eure Rettung sein. Die App hilft euch je nach Reisedauer, Wetter am Zielort und geplanten Aktivitäten die richtige Packliste zusammen zu stellen. Zudem erlaubt PackPoint euch bei der Erstellung eurer Packliste auch noch zu entscheiden, ob ihr bestimmte Sachen öfter tragen wollt oder könnt und ob es vielleicht eine Waschmöglichkeit gibt.

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Pocket

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Diese App ist tatsächlich nicht nur für Reisende, sondern einfach für alle, die sich gern und viel informieren ein absolutes Muss. Denn sein wir mal ehrlich, wir finden täglich unzählige Artikel und Videos, die wir interessant finden, für die wir aber gerade absolut gar keine Zeit haben, weil wir jetzt unbedingt erstmal dieses Cronut instagramen müssen. All diese Beiträge lassen sich nun in Pocket speichern und dort später auch ohne Internet lesen. Zum Beispiel im Flugzeug, denn da ist es ohnehin immer öde oder als Nachtlektüre im Bergdorf ganz ohne Internet oder einfach sonst überall aus Mangel an Bereitschaft Roaming-Gebühren zu zahlen oder Datenvolumen zu verbraten. Außerdem lauft ihr so nie wieder Gefahr einen auf Facebook entdeckten Artikel einfach nie wieder zu finden.

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Spiltwise

splitwise

Wir sind uns ziemlich sicher, dass eine Menge Menschen, nicht nur für Urlaube, auf genau diese App gewartet haben, denn wir alle kennen das Problem mit einer Gruppe von Freunden, Mitreisenden, Kollegen, Verwandten unterwegs zu sein und am Ende den Überblick zu verlieren, wer nun eigentlich was bezahlt hat und wie viele nun wem noch welche Summen an Geld schulden. Bei Splitwise kann nicht nur eingetragen werden, wer was bezahlt hat, die App rechnet sofort aus, wer wem wie viel zu zahlen hat und zeigt es allen registrierten Freunden, Mitbewohnern oder aus wem auch immer die Splitwise-Gruppe besteht an.

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Vivino 

Im Restaurant und beim Blick auf die Weinkarte keine Ahnung, welchen man nehmen soll? Das kann sowohl Zuhause als auch im Urlaub passieren. Der geneigte Digital Native hat jetzt zwei Optionen: ganz analog nach einer Empfehlung fragen oder einfach die Weinkarte oder Etiketten scannen und sich von der App Vivino alles wissenswerte über den jeweiligen Wein anzeigen lassen. Ebenfalls cool ist es, das Etikett zu scannen und den guten Tropfen direkt nach Hause zu bestellen.

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Untappd

Falls doch eher Bier das Getränk eurer Wahl ist, könnte euch eventuell Untappd mehr begeistern. Die App zeigt an, welche Bars in der Umgebung, welche Biere oder auch Craft Beer, vielleicht sogar aus eigener Brauerei anbieten. Nutzer können dort bewerten, empfehlen oder abraten. So seid ihr in Sachen Bier überall auf der Welt immer voll up to date. Aber denkt daran: Don’t drink and drive!

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Bilder: Screenshots, Fotolia, WifiMagic.com